Ascension en Pays Basque

Une météo incertaine a un peu écourté notre séjour, mais c'est vrai que je nous ai connu plus téméraires (ouh la ! je suis pas bien beaucoup sûr que c'est trop français cà !!!) Ah, ce n'était pas un petit nuage qui nous posait problème,... serait-ce l'âge ???
   

Ces quelques journées basques se sont passées dans une très bonne ambiance, comme d'habitude, tant pour les cyclistes que les dames et le petit Ruben à fête avec les chevaux, les vaches, les moutons,...
Les circuits vélo ont été un peu inprovisés en fonction de la météo, mais Pierre nous a quand même bien gâtés.
   

Jeudi, après le repas d'accueil de l'hôtel Bista eder, Pierre, Patrick, Georges, Jacky et moi-même sommes partis à l'assaut du col de Gamia, avec une bonne petite portion entre 10 et 11%, puis le col des Palombières, où l'on est passé pratiquement au milieu des filets, puis St Palais et retour par Larceveau et le col d'Osquich bien évidemment. Cependant Martine, ma moitié, a amené l'épouse de Jacky, Françoise, à la passerelle de...(je ne me rappelle plus du nom)
Dans l'après-midi, Laurent, Marielle et Ruben puis Jean-Pierre B. nous ont rejoint pour partager le repas du soir et le "Pacharan" et être fin prêts pour le départ "matinal".    

Le programme du vendredi est chargé mais le ciel aussi. Nous partons pour faire la Pierre St Martin par Arette mais le temps n'est pas très engageant. Patrick, comme à son habitude, nous fait quelques photos en roulant. Finalement, après Montory, nous prenons à droite pour monter à Issarbe. Pas facile, surtout les 3 ou 4 premiers kilomètres sur les 11 que compte ce col. En haut, même temps que l'année dernière, visibilité 15 m, en plus froid. La décision est prise de ne pas continuer la montée sur le Soudet et La Pierre et nous redescendons sur Ste Engrâce. La pente est raide, le revêtement lamentable, ça tape et nous sommes frigorifiés. Patrick crève au niveau du parking des Gorges de Kakuetta. Nous rentrons par Mauléon, il fait moins froid dans la vallée. Sandwich et mousse à l'arrivée après 106 km, les épouses rentrent de balade. Georges et Jean-Pierre nous quittent. Patrick et Jacky rangent les vélos mais restent pour la soirée.

Seuls les vélos de Laurent, Pierre et moi restent prêts.
Samedi matin, nous nous reveillons dans un nuage sombre, petit-déjeuner face à la télé allumée sur la chaine météo qui nous promet une belle saucée avec éclairs (toujours pas au chocolat) et musique, mais pas celle de la Pena Baiona que l'on a eue la veille au soir. Tout le monde charge les voitures, bisous, à l'année prochaine et retour à la maison. Les autres photos sont dans l'album.
Je suis descendu à la salle pour la traditionnelle collation mais personne, dommage.